Tête d’affiche du vendredi, le show de Didier a ravi tous les spectateurs. Déguisé, monté sur sa chaise, il a fait monter la température de quelques degrés du fait de ses excentricités les plus folles… Un grand moment !
Groupe rock français, les cinq compères de ce groupe ont ravi les spectateurs avec leurs performances scéniques toujours aussi explosives. Des textes forts et les chansons de leur nouvel album dans une veine plus pop, fidèle à la tension rock à laquelle le quintette nous a habitués.
Tête d’affiche du samedi, ce collectif composé d’artistes issus de plusieurs groupes nous a enchantés. Chanson, rock, métissage, accordéon, culture rap, DJ, Electro, scratch … tout se télescope. L’alchimie improbable d’une tribu bigarrée qui se retrouve et se bouscule autour de valeurs communes évidentes : la liberté, la fête, le bonheur d’être ensemble sur scène, et surtout le partage.
Soviet Suprem, c’était direction l’URSS pour un moment de folie furieuse ! Influences balkan, électro-punk, le Soviet Suprem s’est emparé de l’Europopcorn et nous a offert quelques moments inoubliables !
Tête d’affiche du vendredi, les Massilia sont enfin de retour pour fêter leurs 30 ans avec un nouvel album. Fidèles à l’esprit qui les anime, ils nous ont offert un nouvel opus ensoleillé, rythmé, engagé.
Flavia Coelho nous a fait partager ses aventures. Impossible de rester insensible à sa musique qui lui ressemble : multi culturelle, multicolore et transfrontières. Elle mixe les rythmes, les sons, dans un subtil alliage dont elle a inventé les codes, allant du jazz au reggae en passant par le funk.
Présenter cet aficionado du « salsamuffin » est-il encore nécessaire ? Sergent Garcia est l’un des noms les plus emblématiques du reggae Français. Nous l’avons retrouvé sur scène pour un joyeux cocktail de ce qu’il sait faire le mieux : brasser les genres. Entre salsa et raggamuffin, nous nous sommes laissé transporter pour un voyage à travers l’Amérique Latine, les Caraïbes et la Jamaïque.
BBB bombe scénique, ce groupe new-yorkais mélange Klezmer et Drum ‘n’ bass. Artistiquement, la thématique reste délibérément axée sur les cultures d’Europe centrale, le Moyen Orient, avec un goût prononcé pour la fanfare balkanne. Le résultat improbable de ces résonances du monde entier, découpé de sons électroniques, galvanise et rend cette musique fiévreuse et festive à outrance.
Boulevard des Airs est un groupe du Sud-Ouest. Les influences de cette bande de copains vont de Brel à Marley en passant par les Red Hot Chili Peppers ou Rage Against the Machine. A l’instar de formations telles que « Babylon Circus » ou les « Ogres de Barback », BDA défend ses positions et sa philosophie dans des textes militants. Il rassemble et fédère sur des morceaux aux sonorités rock, reggae et hispaniques.
Tête d’affiche n°1 du samedi soir, la Rue Két a véritablement mis le feu à un public de 2000 inconditionnels .Les organisateurs qui attendaient Mourad, Olivier et Florent depuis plusieurs années ont bien fait de déplacer la date de huit jours pour le plaisir de tous.
Rumba, calypso, rythmes capverdiens ou brésiliens, swing manouche, tout leur va pour nous chanter une poésie sociale et politique, aussi drôle que corrosive. Les Zoufris avaient idéalement lancé la soirée.
Tête d’affiche dominicale, Thomas Fersen, le talentueux trublion de la chanson française… à texte, poète accompli, joue avec les mots et la musique, s’amusant des doubles sens, tout en jonglant avec des rimes et usant de métaphores avec une dextérité toujours aussi déroutante. Un grand Monsieur qui revisite une grande partie de sa discographie en acoustique sur la scène de l’Europopcorn.
Eiffel
Le groupe Eiffel a été la première tête d’affiche de la première soirée du festival de l’édition 2012. La deuxième tête d’affiche, le groupe anglais Kill The Young, a ravi le festivalier par son excellente prestation.
Les intempéries de la deuxième soirée de festival ont malheureusement coupé court à l’événement… Le public n’a pu assister au concert des Têtes Raides, prévus ce soir-là.